- Divers (3)
xav
je les ai sonorisé hier soir à JAZZ AU CONFLUENT : GROOVINHIGH , ça casse la baraque
Ils ont cassé la baraque hier soir à jazz au confluent , dans le cadre de nos concerts :
Groovin'high doit son nom au fameux titre de Dizzy Gillespie, standard bebop revisité pour l'occasion dans un style new soul plus contemporain ; voilà qui exprime l'esprit musical de ce jeune groupe, le credo autour duquel se rassemblent ces sept musiciens, dont la plupart se sont rencontrés sur les bancs de la fac.
https://myspace.com/groovinhighmusic
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n'oubliez pas d'aller voir Jazz au Confluent...
http://www.jazzauconfluent.fr/pages/concerts.htm
08.11.08 GROOVIN' HIGH
Le drive du funk dans de subtils arrangements jazz.
Régis PONS Trompette Bastien LAM Guitare
Maximillien JOUAN Thierry LEMAITRE
Bastien FERREZ Saxophone Athur DUPONT chant
Sébastien HURTEL basse Jérémy DUCRET batterie
22.11.08 TRIO BOLOGNESI - FOSSET- SORIN
Un trio de maîtres autour de l'accordéon jazz.
Jacques BOLOGNESI accordéon
Pierres Yves SORIN contrebasse Marc FOSSET guitare
06.12.08 OPSYON
Capiteuse fusion de jazz et de bien d'autres choses.
Alan FELL guitare Joel POSTEL contrebasse Julien BULTE guitare
Jeremy NEWMAN batterie Jean-Jacques CHATELAIN saxophone
13.12.08 Chris HENDERSON
Quintet des américains à Paris.
Du swing pur jus.
Pascal BIVALSKI vibraphone Chris HENDERSON batterie
Hakim SULAIMAN saxophone Dov TAHAR piano
Jack GREGG contrebasse
CONSERVATOIRE DE MUSIQUE
74 rue Désiré Clément
78700 Conflans Sainte Honorine
01 39 19 23 04
Accès au public dès 20h Entrée libre
Pourquoi faire du jazz par temps de crise ?
Pourquoi, d'ailleurs, faire de la musique tout court ? Elle ne se mange pas, ne protège ni du froid ni de la pluie, ni ne permet de pousser jusqu'au supérmarché. Futile alors la zique ?
Pourtant, on vit avec depuis des lustres : depuis que homo sapiens a compris qu'en sifflant dans un roseau il sortait des
notes, la musique a servi à toutes les causes : solliciter divers dieux, séduire sur la piste de danse, donner le moral aux troupes et faire trembler l'ennemi¸ escorter les morts vers l'audelà… Le jazz aussi, à ses débuts, était inséparable de la fonction sociale : le pianiste mettait de l'ambiance dans un coin du bouge en explorant des airs de ragtime ; le bluesman colportait avec son harmonica des histoires de ville en ville le long de la voie ferrée ; la fanfare faisait chavirer la foule ou accompagnait les cortèges funèbres dans les rues de la Nouvelle Orléans. Ce n'est qu'après la deuxième guerre mondiale, quand le juke-box a mis les big band au chômage, que les musiciens de Harlem ont corsé la donne en créant la forme plus exigeante du be-bop.
Le jazz est devenu alors progressivement une musique de concert. Il oscille toujours entre deux pôles : une tendance à
l'abstraction qui trouve preneur chez les mélomanes, et une expression plus immédiatement jouissive, plus proche de sesbases populaires. Pour Jazz au Confluent, la musique vivante, improvisée, qu'elle que soit son niveau de sophistication, a toute sa place dans la vie sociale, et ne peut que faire du bien au corps et à l'âme. Crise ou pas crise. De toute façon, pour venir à nos concerts, pas besoin de serrer la ceinture. Juste prévoir de quoi acheter une conso pour que l'on puisse faire de la recette.
On espère vous y voir.
A bientôt… JAC
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A propos de Jacques de Lignières
JdL Quartet s’est produit dans plusieurs clubs parisiens (le Petit Journal Montparnasse, le Franc Pinot, Autour de Midi …) et dans quelques festivals (Jazz à St Piat, May Jazz, Jazz au Confluent…) avec Claudine François au piano, actuellement Olivier Léger, Stéphane Benveniste à la contrebasse, puis Xavier Barloy, actuellement Hervé Czak , Bertrand Perrin à la batterie, actuellement Serge Lamboley, et toujours JdL ! Mais également avec des guest stars : Bobby Few, Frédéric Delestré...
son espace :
https://myspace.com/jdlquartet
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