Hubert Saint Victor

Bonsoir alveda,
Tout d'abord super sympa d'avoir pris le temps de laisser un commentaire qui me réjouit. Sache, que dans l'ensemble j'approuve totalement tes ressentis sur le fond, et ta vision directive sur l'ensemble et indique que tu as écouté avec attention les titres, et je t'en remercie. Je ne manquerai pas comme tout artisan qui se respecte de suivre tes conseils afin de progresser dans cet univers artistique.. Au plaisir de te relire, a bientôt Hubert S.V

C'est sympa, mais puisque tu demandes d'éventuelles suggestions, en voici une. Dans l'ensemble, tes accompagnements comme ton intonation sont uniformes sur toute la chanson. Ça fait un peu synthétique, ça manque de nuances, de rentrées progressives d'instruments, et même d'envolées avec changement d'attaques. Tu signales une influence Neil Young, Sting, Jonasz : chacun a un style et un son très personnels qui fait qu'on le reconnaît entre mille. Il te manque peut-être cette marque de fabrique pour ne pas être fondu dans l'anonymat des titres discos. Vois si tu peux accentuer ta marque, que ce soit à travers la diction du chant ou une particularité dans le son de l'accompagnement (Neil Young ou Police ont toujours eu une attaque particulière à la guitare, par exemple, Hot Tuna s'est toujours démarqué par le son et le jeu de la basse...). Cela dit, c'est quand même très propre, et j'aime bien ton titre "Si tu veux" qui, lui, n'a pas besoin d'être nuancé.

Bel environnement, très jolie musique, voix très sympa, …
Top 👍

Trés belle découverte .... de plus , adoubé par J.C , dont l'inspiration ne cessera de m'impréssionner ...

Lisières
Des paroles portées par des voix mélodieuses
Nous parviennent, légères, murmurées, comme en rêve...
On sent leurs battements d'ailes mélancoliques
Effleurer la conscience enfouie dans l'oubli
De blessures anciennes...
Et l'on ne sait pourquoi les larmes nous parviennent, diluviennes,
Et l'on croit entrevoir, familières, diffuses,
Des chimères craintives, des ombres adorées,
Des mains, des bras, des yeux, caressants et aimants,
Dont la présence proche mais fantomatique nous rappelle
Que la soif de tendresse, jamais étanchée,
Est comme le désir: ardent, inassouvi...
Merci, Hubert Saint Victor!
Jean-Claude RUIZ