MASHISKA
Musiciens du groupe : LM
N'hésitez pas à laisser 1 p'tit mes ça peu aider. Merci
http://www.noomiz.com/membre
Influences : Plus ou moins electro avec quelques notes de poésie.
Mais, je trouve que dans tous les styles on peut toujours retrouver une zik super à écouter sans retenue.
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Concerts
Pas de concert prévuBiographie
SEUL
Je marche, seul. Mes pas se consument et laissent des traces éphémères derrière l'ombre de mon corps.
Je marche.
Au-devant de mes futurs pas se dessine à mes yeux brumeux, un océan de calme et de vide. Dans le ciel rien, si ce n'est quelques nuages venant remplir ce tableau monochrome. Le sol est dur et froid. Un seul regard se pose sur l'horizon, le mien. Je marche, seul. Le vent souffle et effleure mes oreilles. Elles écoutent son chant émergeant de tout ces lointains continents. Certaines choses se passent ailleurs que derrière mes intransigeant pas. Autres, ailleurs, quelque part, certainement se dissipent et réapparaissent.
Je marche.
La nuit est ténébreuse, pas de lune, aucune étoiles. Sombre, noir et silencieux, le temps passe et ne résous rien. Dans ma tête des images, des sourires et des regards se confondent. Des tableaux d'instants inoubliables un temps, et aujourd'hui se mouvant dans mes souvenirs telle une aquarelle éclaboussée de rouille poisseuse, ruisselant le long de mon visage. Je marche, seul. L'insondable et parfaite solitude évacue de moi la richesse de ma propre existence. Elle devient l'infini particule unique dans l'immensité du vide. De nul part à ici, l'inondation de l'extrême renvoi toutes sagesses au néant élémentaire.
Je marche seul, et seul je marche.
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CELLE ET CENT FLEURS DANS SA VIE
Quand je pleure et que tu me manques
Je suis perdu dans l’avenue d’un grand sourire.
J’écoute mes l’armes tomber sur le sol
Et respire la poussière de ma tristesse asséchée.
Je regarde le temps qui s’écoule
Devant mes yeux qui s’écroulent.
La chaleur passe sur ma peau
Et je sens que je n’ai pas chaud.
Mon coeur refroidit est détruit,
Il ne fonctionne plus, ne fait plus aucun bruit.
L’attirance et la beauté restent bloquées
Derrière mon visage sans pensée.
Les fleures que je t’avais cueillies
Meurent avant de connaître la vie,
Celle qui aurait pu être vécue,
Celle qui aurait du être, je suis déçu.
C’était quoi ce visage d’enfant
Que tu me possédais tellement,
Qui dans le trouble si soudainement
C’est éteint loin dans le firmament ?
A jamais douceur d’étoile
Je sais maintenant que tu porteras le voile.
Et j’écoute parler les gens affolants
Qui pour toujours te ressembleront tant.